Les maisons
Des maisons sont démolies, soit par nécessité, soit car laissées à l’abandon ou encore acquises pour agrandir une cour. C’est le cas de celles ayant hébergé les familles : Arthur MILLOUX (une partie), Ernestine ROMANET, Adeline MARTIN (aménagement du carrefour), Adrien MAÎTRE (agrandissement du parking de la salle des fêtes), Adrienne DOUSSOT divorcée PERNOT, Elevina GRABY, Mme AUBERT l’infirmière, Honorine BRENIAUX (était située après chez Roger MOLIN), GUERILLOT, (une partie a été restaurée par Alix BEAUPOIL, aujourd’hui habitation MONBORNE), à côté l’ensemble BARSU, Claire MAÎTRE (dite Claire à Vovet), et un appartement (maintenant habitation PAILLOT).
Certaines ont été rénovées et de nombreuses fermes sont transformées en résidence principale ou secondaire. Par exemple, chez GRABY par DEBRAT, Herman ANTOINE par FOURNIER, Claude BRENIAUX par Valérie BRENIAUX épouse NBAYE Ndiaga, Roger MONCEAUX pour lui même, Roger BRENIAUX par MOREAU, Arthur MILLOUX par sa fille, Clovis GRABY par MONBORNE, JACQUET, Helène ROMANET par la commune, Joseph MAÎTRE par Jean-Louis MONCEAUX, chez Justin BRENIAUX par Danièle BRENIAUX épouse MARAICHER, Denis BRENIAUX, Monique STOCKER (maison Henri BREGAND), Pierre BRENIAUX, Albertine FAIVRE et Marius GEILLON par André PREVOT, Roger MOLIN par son gendre Alain GUICHARD, sans oublier l’ancienne cure par Robert PAULIN, précédemment propriété de la famille BOUCHAUDY, et plus récemment la ferme de Raoul BRENIAUX par sa fille Jeannine épouse TOUSSAINT, Yvonne MOLIN par Daniel PERRET, Gustave MAÎTRE du coin d’Amont par Mme PERRIN,etc…
D’autres sont sorties de terre. C’est le cas des habitations de Patrice et Rémy BRENIAUX, Christian MILLOUX, Jean-Marc GERDY, Philippe CHARLES, André MAÎTRE, Dominique ADELON (PREVOT), André MILLOUX, JP BOUVERET, RUFFEY, Patrick et Joël BOURGEOIS, Gérard BRENIAUX, Didier ROY, Louis BONNOT, Christian LHOMME, Jean-Pierre GALLAND, Frantz LEPEUT, Patrick MARCHAND, Pierre VAIVRE, MOREAU, COMBE, et FLEURY sur l’emplacement de celle d’Honorine.
De nouveaux bâtiments agricoles modernes ont vu le jour. A savoir : hangar et étable de Gustave MAÎTRE du coin d’amont, ferme de Bernard BRENIAUX, de Patrice BRENIAUX, de Gilbert ANTOINE, de Patrick BOURGEOIS.
Petite anecdote : le 13 janvier 1833, le conseil municipal fera connaître à François MAÎTRE que la baraque qu’il a construite, il y a une dizaine d’années, sur un terrain communal ne sera pas transmissible et, qu’à compter du 1er janvier 1834 il doit s’acquitter annuellement d’une somme de 3 francs.