La mairie
Au début du siècle, elle occupe une pièce située à droite du logement du fromager. Ce dernier ayant une famille nombreuse, il sollicite l’usage de ce local. Il faut reconnaître que la situation est parfois cocasse. Il faut traverser la cuisine de l’occupant pour se rendre à la mairie. Imaginez-vous la scène lors des mariages. Le fromager obtient gain de cause. Un accord intervient entre la coopérative fromagère, appelée à cette époque « fruitière », et la municipalité. Un local situé au-dessus des caves à fromage est mis à la disposition de la commune pour installer la mairie, en échange du bien cédé.
Après la suppression de la première classe, le maire Irénée BRENIAUX transfert la mairie dans la salle de classe laissée libre. Il fabrique lui-même la plaque portant l’inscription « Mairie ».
Durant son dernier mandat de premier magistrat, Bernard BRENIAUX, fait rénover l’école des garçons. La salle de classe est partagée en deux parties ; la première en entrant, pour le secrétariat, la seconde comme salle de réunion et bureau du maire. Des WC intérieurs sont aménagés.
La salle des fêtes
La commune acquiert la maison d’Hélène ROMANET en 1979, mitoyenne à l’ancienne école des filles, pour la rénover et l’aménager en salle des fêtes. Un parking est fait devant et sur le côté sud.
Le préau de l’ancienne école a été surélevé par la construction d’un local de rangement d’archives et de matériel.
Elle a également acheté la maison d’Adrien MAÎTRE, ancien percepteur, pour démolition et agrandir le parking. La transaction s’est faite après le décès de sa veuve Irène MAÎTRE.
C’est sur cet espace que le monument aux morts a été transféré.
La mairie |
La salle des fêtes |
La bascule (poids public)
En 1911, l’installation d’un pont à bascule de 6 000 kg, auprès de Gaétan Foliot à Lyon pour environ 2 000 francs est envisagée. Le devis est approuvé. L’année suivante un emprunt est fait pour les divers travaux. Ils peuvent commencer.